Owain Snaith a commencé son postdoc au sein de l’équipe de physique stellaire et galactique à la fin du mois de mars. Il n’est pas vraiment nouveau dans nos murs, mais il se présente dans cet article.
J’ai passé ma thèse à l’Université du Lancashire à Preston, au Royaume-Uni, où j’ai étudié l’évolution des galaxies. Depuis lors, j’ai continué d’explorer les propriétés des galaxies à l’aide de simulations et de modèles. J’étais déjà chercheur postdoctoral au GEPI en 2012-2013, explorant l’évolution chimique de la Voie Lactée. Ensuite, je suis allé à l’Université de l’Alabama pour étudier l’évolution chimique de galaxies simulées au-delà de la Voie Lactée. Je me suis ensuite rendu en Corée du Sud pour poursuivre ces études à de plus grandes échelles de distance. Je suis maintenant revenu à des distances plus proche, et je retourne à l’étude de la Voie Lactée, tout en revenant au GEPI.
Plus récemment, je travaille sur une simulation hydrodynamique à grande échelle de l’Univers, atteignant des échelles de giga-parsec, travail initié alors que j’étais en Corée du Sud. Ce sera le plus grand volume de l’Univers étudié en utilisant la matière noire + baryons, à une résolution similaire à Horizon-AGN, Illustris ou Eagle.
Au GEPI, je vais explorer la dynamique et l’évolution chimique de la Voie lactée, à l’aide de simulations, afin d’aider à interpréter les données de Gaia, d’APOGEE et d’autres relevés similaires, en mettant l’accent sur l’évolution chimique de la Galaxie. Un thème récurrent de mes recherches concerne les propriétés chimiques des galaxies et comment la modélisation des processus physiques influe sur les résultats.